Face aux défis de compétence professionnelle dans l’administration publique et les secteurs privés, les pays africains prennent en compte l’inefficience de certaines formations sous-régionales. En réponse, ils se tournent vers la diplomatie éducative pour former leurs ressources humaines dans des institutions occidentales de renom, reconnaissant les limites des programmes nationaux sur le marché international, notamment dans les échanges commerciaux et les négociations interétatiques.
Face à un chômage record de 32,8%, le gouvernement sud-africain, appuyé par ses partenaires, a initié un fonds de 53 millions de dollars pour stimuler l’entrepreneuriat technologique au sein des universités. Cette initiative s’inscrit dans la continuité de l’initiative TIMBUKTOO présentée à DAVOS, visant à contrer les effets de la délocalisation des entreprises et les défis de productivité.
L’investissement dans le capital humain est fondamental pour le développement économique, constituant l’un des piliers essentiels pour atteindre les Objectifs de Développement Durable.