Le centre médical ASPETAR, créé en 2007 à Doha, est devenu une référence mondiale dans la prise en charge la santé de l’élite sportive et des sportifs de tout niveau. Ultra-moderne, à la pointe des technologies, cette médecine privée de luxe émerge sur un secteur du sport où l’économie se mondialise.
Un environnement porteur, des synergies complémentaires.
Depuis 30 ans, en inscrivant le sport comme cause nationale et secteur stratégique d’excellence, le Qatar a exploité ce « soft power » afin d’impulser son développement économique et sa diplomatie internationale. Son but ? Devenir leader mondial, en investissant massivement sur les leviers économiques du sport dont la médecine du sport.
Le modèle ASPETAR bénéficie ainsi d’une dynamique vertueuse avec :
• Une économie prospère au PIB/habitant le plus élevé au monde,
• Une filière « santé et bien-être », haut de gamme, source de rentabilité,
• Des investissements publics,
• La fiscalité quasi-inexistante,
• Une influence et une visibilité mondiales.
A l’échelle internationale,
• Un marché du sport solide et mondialisé (800 milliards de $, 2 à 5% annuels depuis 1980),
• L’impact de la médecine sportive sur les exploits sportifs attendus,
• Des prévisions très favorables au marché de la médecine du sport (6.5% par an d’ici 2027, selon Grand View Research).
ASPETAR est un maillon de la réussite qatari en ayant initié le Programme National de Médecine Sportive du Qatar. De plus, il crée des emplois locaux, attire des potentiels, stimule l’écosystème et la consommation, contribue aux avancées scientifiques sur la scène mondiale. Sans oublier un effet vers le tourisme sport-santé déployé dans le pays. Il répond également aux besoins immédiats lors des compétitions internationales organisées par le Qatar (athlétisme, tennis, handball, football…).
Le business model ASPETAR
Conçu pour la médecine sportive de pointe, tant curative que préventive, ASPETAR combine sur 9000 m² un centre médicalisé, un pôle de recherche scientifique et de formation.
Son concept repose sur la complémentarité XXL de son offre à niveau d’exigence élevé et les compétences pluridisciplinaires de renommée mondiale qui exploitent des technologies avancées avec une qualité de service premium. Il cible une clientèle professionnelle ou individuelle fortunée.
Expertise, exploration complète, intervention, médication, préparation physique, simulation, confort, personnalisation… constituent des avantages compétitifs. La gestion de l’immobilisation du sportif est mieux maîtrisée : temps, unicité de lieu, fatigue, efficacité, disponibilité, coût.
Avec un positionnement haut de gamme, la création de centres médicaux d’excellence internationaux nécessite des ressources financières conséquentes. D’abord pour investir dans des locaux au cœur d’Aspire Zone de Doha offrant une expérience sportive optimum, grâce à ses installations sportives, évènementielles, hotellières et de santé avec ASPETAR. Pareillement en dépenses de marketing-communication et de fonctionnement.
Les importants financements publics optimisent alors l’investissement (immobilier, immatériel, équipements innovants, R&D). Ils sécurisent les frais de fonctionnement liés à au personnel nombreux, mais aussi hautement qualifié. Ils pérennisent également les indispensables maintenance ou adaptations technologiques.
Le centre génère ses revenus selon une stratégie d’écrémage corrélée à un marketing de luxe aux marges appréciables. D’abord par ses prestations (consultation, chirurgie, rééducation, suivi, programmes de prévention voire de détection des pathologies…). Puis par les options personnalisées, les prestations connexes d’hébergement par exemple valorisant la tarification proposée aux patients, les programmes de formation, possiblement des dotations recherche.
Être une référence mondiale
La reconnaissance du monde sportif et scientifique lui a ouvert diverses accréditations sur tous les continents. En 2009, la FIFA officialise Aspetar « Centre d’excellence médical », pour l’élite du football mondial (fédérations, clubs, joueurs), attirant une autre clientèle souhaitant une prise en charge premium. En Afrique, la FAF a engagé un suivi de l’équipe nationale algérienne. Le CIO, en 2015, le nomme membre hospitalier du réseau de recherche médicale. Depuis quelques années, les publications de ses chercheurs sont cautions au sein de la communauté scientifique du sport ; assurément cruciales aux acteurs de ce secteur.
Ces relations étendent indéniablement sa zone de chalandise, autant sa notoriété.
Une réponse aux enjeux du sport professionnel
Les clubs et fédérations, les préparateurs physiques ont mesuré l’importance de l’accompagnement complet du sportif durant son parcours professionnel. Les enjeux financiers liés comptent : résultats sportifs, potentiel joueur (salaire, coût des transferts, produits dérivés), capital image, sponsors, prime si présence en équipe nationale…
Les clubs collaborent activement avec les pôles comme ASPETAR, grâce à l’exploitation des datas sportives, forcément médicales, au service de la performance. Le rôle clé de la médecine sportive induit les externalités positives sur la santé publique, la recherche. En suivent les développements innovation des industriels, les budgets sponsoring ou droits TV…
Le suivi des athlètes prépare autrement l’après carrière. Il reconnait des maladies professionnelles, minimise d’éventuelles mises en cause de la responsabilité employeur, en matière de protocole médical. En témoignent les cas de commotions du rugby ou football.
Santé, économie, avenir des athlètes sont des composantes indissociables de l’industrie du sport où l’humain reste le moteur. Désormais, l’e-sport, l’I.A., le développement durable dans le sport explorent le potentiel du sportif sous un autre regard médical et scientifique.